Partie 2 Chapitre 2
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Partie 2 Chapitre 2
Chapitre 2 : La performance des Etats
A°) Les missions publiques stricto sensu : activités régalienne et investissements publics
-La consommation publique collective (mission régalienne): dispersion moins élevée mais non négligeable : Euroland (8,3 % PIB, USA et Jap : 7,5 % (mais taux de croissance de ses chiffres plus fort pour USA à cause de guerre)
-Investissements publics (entretien) : le plus facile à compresser quand restriction budgétaire. Très faible (2,5 % PIB Euroland), mais fort au Japon (6,5 %, lobby du ciment)
B°) Transferts et subventions
-Intention de réduire l’écart entre revenus bruts mais aussi de récompenser électeurs et calmer groupes de pressions. 22 % en Euroland, 11,7% au Japon, 14,3% aux USA
-Au niveau de la consommation publique individualisable (modèle de protection sociale), USA a fort niveau de mortalité infantile (6,6%o) : supériorité du modèle globale de Euroland.
-Mais pour fonction de transfert et subvention, échec modèle Euroland. France a porté ses dépenses sociales à 30 % PIB.
C°) Le prélèvement global sur la richesse disponible
-Coût de dette publique : poids du passé. En 20 ans, dette multipliée par 11, et par 3 (% PIB).
-En terme de croissance en volume des dépenses publiques, Euroland et Japon sont beaucoup plus raisonnable que les pays anglo-saxons.
D°) Le rôle de l’état employeur
-Les rémunérations versées aux fonctionnaires, en activités et en retraite, constitue la grosse majorité de la consommation publique. Préoccupation d’efficacité et de solidarité sociale.
-Exception Europe continentale avec ¼ emplois protégés, contre 1/7 pour USA (et 1/3 pour France).
-Modèle USA plus égalitaire car pas de fracture sociale (mais inégalité salaire).
E°) Le financement des dépenses publiques
-Prélèvement fiscal reste en Euroland supérieur à ceux des USA et du Japon. Ecart accru de 2002 à 2005 car critères de Maastricht, d’où des pressions alors que les concurrents ne se privent pas d’utiliser l’arme budgétaire pour relancer leur économie
-Ne peut augmenter les impôts, car freinerait plus encore la croissance. Or, problème que quand croissance, augmente dépense pour palier -> doit donc revoir cycle économique sur son ensemble.
A°) Les missions publiques stricto sensu : activités régalienne et investissements publics
-La consommation publique collective (mission régalienne): dispersion moins élevée mais non négligeable : Euroland (8,3 % PIB, USA et Jap : 7,5 % (mais taux de croissance de ses chiffres plus fort pour USA à cause de guerre)
-Investissements publics (entretien) : le plus facile à compresser quand restriction budgétaire. Très faible (2,5 % PIB Euroland), mais fort au Japon (6,5 %, lobby du ciment)
B°) Transferts et subventions
-Intention de réduire l’écart entre revenus bruts mais aussi de récompenser électeurs et calmer groupes de pressions. 22 % en Euroland, 11,7% au Japon, 14,3% aux USA
-Au niveau de la consommation publique individualisable (modèle de protection sociale), USA a fort niveau de mortalité infantile (6,6%o) : supériorité du modèle globale de Euroland.
-Mais pour fonction de transfert et subvention, échec modèle Euroland. France a porté ses dépenses sociales à 30 % PIB.
C°) Le prélèvement global sur la richesse disponible
-Coût de dette publique : poids du passé. En 20 ans, dette multipliée par 11, et par 3 (% PIB).
-En terme de croissance en volume des dépenses publiques, Euroland et Japon sont beaucoup plus raisonnable que les pays anglo-saxons.
D°) Le rôle de l’état employeur
-Les rémunérations versées aux fonctionnaires, en activités et en retraite, constitue la grosse majorité de la consommation publique. Préoccupation d’efficacité et de solidarité sociale.
-Exception Europe continentale avec ¼ emplois protégés, contre 1/7 pour USA (et 1/3 pour France).
-Modèle USA plus égalitaire car pas de fracture sociale (mais inégalité salaire).
E°) Le financement des dépenses publiques
-Prélèvement fiscal reste en Euroland supérieur à ceux des USA et du Japon. Ecart accru de 2002 à 2005 car critères de Maastricht, d’où des pressions alors que les concurrents ne se privent pas d’utiliser l’arme budgétaire pour relancer leur économie
-Ne peut augmenter les impôts, car freinerait plus encore la croissance. Or, problème que quand croissance, augmente dépense pour palier -> doit donc revoir cycle économique sur son ensemble.
karuto- Cuisinière et Admin
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